Ta deuxième vie commence quand tu comprends que tu n'en as qu'une
Défi livre 1 an,  Développement personnel

Ta deuxième vie commence quand…

« Ta deuxième vie commence quand tu comprends que tu n’en as qu’une » de Raphaëlle Giordano est le deuxième livre que je choisis de te résumer dans le cadre de mon défi 24 livres en 1 an.
C’est un roman qui rentre dans la classe du développement personnel mais je te laisse lire l’article pour comprendre.

Dans les 4 premiers chapitres, on a la situation initiale :
Camille vient d’avoir un accident et atterrit dans la première maison qu’elle trouva. Un certain Claude l’accueille pour qu’elle puisse téléphoner à Sébastien (son homme). Seulement il ne s’intéresse qu’aux questions techniques et non de savoir comment elle allait! Une fois l’appel terminait, Camille fondit en larme.
Or, il se trouve que Claude est routinologue et prévient Camille qu’elle souffre de routine aiguë (elle n’est pas malheureuse mais pas vraiment heureuse non plus).
Le lendemain Camille commence une mauvaise journée (réveil migraineux, Sébastien qui lui dit à peine bonjour à cause de son retard et elle qui doit encore amener Adrien à l’école) et pour finir elle manque de faire un vol plané dans les escaliers du métro.

On rentre donc maintenant dans le début de l’histoire (où je vais essayer de te résumer au plus bref, chaque déroulé de chaque chapitre)…

5. Camille part voir Claude à son cabinet. Il lui explique que si elle veut changer, il va falloir passer à l’action. Sa méthode s’inspire des techniques les plus éprouvées de développement personnel à travers le monde. Un condensé de ce que les hommes ont pensé de mieux pour évoluer en bien. « Donner un sens à sa vie », c’est le fil rouge du changement. Mais il faut y aller petits pas par petits pas. Les changements de vie décisifs commence par de petites transformations, en apparence anodine… Ce n’est pas de réussir à faire une fois les choses qui est compliqué, c’est d’y parvenir tous les jours. Il faut s’engager fermement et passer enfin de la théorie et la pratique. On doit y croire et se demander si on en est capable, en commençant par se demander si on en a envie.
Pour commencer, il lui proposa un petit exercice simple qui n’engage en rien. Noter noir sur blanc tout ce qu’elle aimerait changer dans sa vie.
Claude lui dit ensuite qu’il a besoin d’un engagement total de sa part. Le seul objectif est de créer un déclic positif pour accompagner ses changements de vie. Il lui précise qu’il n’y a aucune obligation à poursuivre. Que si elle veut arrêter elle arrête, mais si elle décide de continuer il lui demande de s’impliquer à 400 %. C’est comme ça qu’on obtient les meilleurs résultats. Le temps de cet accompagnement dure le temps qu’il faut à la personne pour redessiner le projet de vie qui fera son bonheur. Concernant le prix, elle ne paierait qu’à la fin ce qu’elle estime lui devoir. Maintenant il lui laisse réfléchir à tout ça. Elle peut aussi décider de s’engager dans la première étape pour voir ce que ça donne… Si c’est concluant, elle continuera, sinon, elle arrêtera !

6. En rentrant chez elle, Camille repense aux paroles de Claude : « chacun a un devoir vis-à-vis de la vie. Apprendre à se connaître soi-même, prendre conscience que le temps est compté, faire des choix qui engagent et qui ont du sens. Et surtout, ne pas gaspiller ses talents… il est toujours urgent de se réaliser! » Elle lui envoya donc un sms pour lui confirmer qu’elle souhaitait commencer son programme. Il lui réponda : bravo pour ce premier pas. C’est celui qui coûte le plus, mais vous ne le regretterez pas. Guettez votre courrier. Vous y recevrez mes premières instructions.

7. Au bout de 11 jours d’impatience, elle reçut enfin ce courrier tant attendu. Cette attente était volontaire et une première leçon. Ne jamais rester dans l’attente et la passivité. Elle pouvait déjà commencer à agir par elle-même. Il faut bien se souvenir que tu est la seule et unique personne qui peut faire bouger ta propre vie. Le mouvement doit partir de toi.
A l’intérieur il y avait également un collier de Charms, un petit pendentif en forme de lotus blanc. Dans sa lettre Claude lui dit que chaque fois qu’elle aura franchi une étape décisive, un « palier de changement », elle recevra un nouveau lotus charms, d’une nouvelle couleur. Comme en arts martiaux, le code couleur correspondra à la montée d’un niveau : blanc, débutant, puis jaune, vert, bleu, violet… jusqu’au lotus noir qui marquera son stage ultime de changement. Il sera l’indication qu’elle aura atteint tous ses objectifs…
Il lui indique alors qu’il sera un guide, mais qu’il n’accomplira rien à sa place. Note sur un post-it cette phrase que tu regarderas chaque jour : « je suis la seule personne responsable de ma vie et de mon bonheur. »
Voilà maintenant sa première mission : l’opération « blanc ». Elle va procéder à un ménage in/out intégral.
Ménage in, ménage intérieur. Il s’agit d’identifier dans son environnement tout ce qui paraît toxique, néfaste, sclérosant dans ses relations et son organisation.
Elle fera parallèlement un grand ménage out, ménage extérieur, chez elle : jeter au moins dix objets inutiles, ranger, trier et améliorer son intérieur de toutes les façons possibles.
Lorsque Camille envoya un message pour lui signifier qu’elle n’aura jamais le temps, il lui répondu que le temps, en soi, n’est pas un problème. Seul le mental peut en être un. Si on se persuade que le temps est un problème, il en sera un. Si, au contraire, on est convaincu qu’on réussira à en dégager, il y a de fortes chances qu’on y parvienne. Essaye… tu verras, ton cerveau croit ce que tu lui dit. Et rappelle-toi : l’énergie appelle l’énergie. Les premiers jours, ces efforts te sembleront très difficiles, puis de moins en moins. Plus tu en feras, plus tu auras envie d’en faire!

8. Claude envoya un e-mail qui expliquait à Camille comment passer à l’étape suivante. Il lui dit que la vie, c’est comme une montgolfière. Pour aller plus haut, il faut savoir se délester et jeter par-dessus bord tout ce qui empêche de nous élever. Au-delà de la métaphore, il lui demandait d’écrire un élément de sa vie dont elle ne voulait plus par page A4 et de venir avec tout ça mercredi. Elle lut les pièces jointes du mail. Il s’agit du cercle vertueux versus le cercle vicieux.
Cercle vicieux : pensée négative > attitude physique voûtée, mollesse > manque d’énergie, tristesse, découragement, peurs > laisser-aller, incapacité à prendre soin de soi > mauvaise estime de soi, « je suis nulle, je n’y arriverai pas » > repli sur soi, peu d’ouverture aux autres > sensation d’être dans une impasse > vision floue, perspectives incertaines. Échec, objectifs non atteints.
Cercle vertueux : pensée positive ou « faire comme si » > attitude physique dynamique (dos droit, menton relevé, sourire) > entrain, enthousiasme communicatif > capacité à prendre soin de soi (bien manger, faire de l’exercice, se faire plaisir) > bonne estime personnelle, « j’ai de la valeur, je mérite d’être heureuse » > ouverture aux autres, opportunités, réseau, possibilités de rebondir > créativité, regard constructif sur la situation, solutions > réussite. Atteinte des objectifs fixés.
Le mercredi, ils se dirigèrent vers la montgolfière mais avant il lut chaque feuillet que Camille avait écrit et lui demande d’en fabriquer de jolis avions en papier…puis ils montèrent dans la nacelle où Camille n’était pas très rassurée. Mais finalement, elle se rendu compte qu’elle était capable de dépasser ses peurs.
Claude lui demanda donc d’ancrer ce moment : c’est une technique qui permet de retrouver quand on le souhaite l’état physique et émotionnel vécu lors d’un moment heureux. On peut ensuite réactiver son ancre quand on en a besoin, (en reproduisant le geste associé à l’ancrage) et retrouver ainsi le même état émotionnel positif. A pratiquer souvent pour que l’ancre soit efficace.
Puis l’heure était venue d’envoyer valser par-dessus bord ses petits avions et de dire adieu à ces poids! La symbolique du geste est très importante.
Comme exercice pour la semaine prochaine, elle doit lui envoyer la liste de toutes ses qualités, de tout ce qu’elle sait bien faire et de toutes les expériences les plus réussies de sa vie… Au début, on a peut-être du mal à trouver, mais plus ton cerveau sera entraîné à chercher le positif en toi, plus il le trouvera facilement.
Puis il lui donna une petite boîte qui contenait un joli lotus jaune, le deuxième charm. Il lui donna ensuite un bout de papier où était écrit : « Tout est changement, non pour ne plus être, mais pour devenir ce qui n’est pas encore. » Épictète.
Claude demande a Camille de lui dessiner le portrait de la Camille qu’elle voudrait devenir.

9. Pour l’aider, elle gardait sous les yeux la liste de qualités que Claude lui avait envoyée. Il lui envoyait presque quotidiennement des trucs et astuces pour l’aider à aller dans le sens du cercle vertueux. Un de ces sms : « Aujourd’hui, teintez votre journée d’humour et de légèreté. C’est plus facile pour affronter les petits tracas. 🙂 Testez une séance de grimaces devant le miroir : c’est bon pour le moral et contre les rides. Tirez la langue dans tous sens, criez Wazaaaa, mimez une grande tristesse et une grande joie comme le mime Marceau, récitez les voyelles en forçant le trait, amusez-vous! »
Un matin elle fit cet exercice avec son fils qui montra une créativité incroyable dans l’exercice. Elle lui décerna donc sans hésitation la palme de clown d’honneur. Ravi de ce titre honorifique, ils passèrent le petit-déjeuner en papotant, ce qui ne leur était pas arrivé depuis longtemps.
Un autre jour, il l’invita à tester le jeu de l’appareil photo imaginaire : un exercice qu’il avait inventé pour l’aider à changer de regard sur sa réalité, en changeant son filtre de perception. – Quand tu sortiras, au lieu de te focaliser sur les choses désagréables… tu tenteras de fixer ton attention sur des choses jolies et agréables au lieu d’avoir les yeux rivés sur les mendiants, les passants grincheux… Elle se surprit alors à observer la couleur du ciel, l’oiseau joli en train de faire son nid, un couple d’amoureux s’embrasser, une maman faire un câlin à son enfant… Elle enrichissait chaque jour davantage sa collection d’images positives, un album de photos imaginaires qui allait lui permettre de se forger une autre image du monde…

10. Chaque jour, la vue de sa silhouette dans le miroir jetait une zone d’ombre sur son humeur. Elle prit donc rendez-vous avec Claude pour son objectif de perte de poids. Il lui dit que la clé pour atteindre son objectif, c’est de bien le cadrer avant de commencer grâce à la méthode SMART.

11. Il lui conseilla de penser aux épices afin de relever les plats.
Cependant, résister était le plus dure avec par exemple les gâteaux que son fils mangeait. Cela étant, sa vaillance finit par payer.
Mais au bureau face à l’ennui, ses conseils « santé, bien-être » commençaient à lui sortir par les yeux! « Prenez les escaliers plutôt que l’ascenseur. Allez faire une marche à l’heure du déjeuner. Vous pouvez aussi muscler vos fessiers en restant assise : il suffit de les serrer puis de les relâcher discrètement. Vous vous ennuyez en attendant le métro? Faites des petits mouvements sur la pointe des pieds ; décollez vos talons puis relâchez! Quand aux abdos, pourquoi ne pas les contracter chaque fois que vous passez une porte, en rentrant le ventre? »
Quoi qu’il en soit, elle avait intérêt à se ressaisir, si elle ne voulait pas avoir une désagréable impression d’échec au moment de remplir son cahier des engagements. Sur chaque ligne d’engagement, elle devait cocher la case « fait » ou « pas fait »
Claude lui conseil aussi de s’acheter un petit répertoire téléphonique et d’y noter, par ordre alphabétique, ses petits et grands succès, ses petites et grandes joies. Ainsi, dans quelques temps, elle aura à sa disposition une collection d’ancrages positifs! C’est excellent pour l’estime de soi et la satisfaction personnelle.
Beaucoup de gens connaissent les bonnes pratiques pour mener une vie plus heureuse, mais ne passent jamais réellement à l’action… Ce n’est pas toujours facile de tenir ses engagements. Paresse, fatigue, découragement, les ennemis guettent! Mais tiens bon : le jeu en vaut la chandelle.

12. Camille se dispute avec son homme qui se pose sur le canapé en rentrant du boulot et qui ne l’aide pas.
Camille conclut : j’en ai marre, débrouillez-vous sans moi, je rends mon tablier! « C’est ça, part! On n’a qu’à divorcer aussi, pendant qu’on y est! Tu as l’air de ne demander que ça! » lui répond son mari.
Ses paroles l’a frappèrent comme un boomerang en plein vol. En larmes, elle attrapa son manteau et quitta l’appartement en claquant la porte.

13. Dans ce chapitre, on y retrouve les conseils de Claude par rapport au type de dispute qu’on peut tous avoir avec sa moitié. Voici donc simplement quelques conseils de Claude :

  • Lors des disputes, on est souvent dans un dialogue de sourds ! Écouter de mauvaise grâce, ce n’est pas écouter…Écouter vraiment, c’est se mettre à la place de ce que l’autre vit, être en empathie. Dans les disputes, mieux vaut ne pas tout prendre pour argent comptant, mais apprendre à lire entre les lignes pour déceler les émotions authentiques… Derrière un reproche, il se cache peut-être une peur ainsi que derrière de l’agressivité, de la tristesse ou une blessure encore vive…
  • On a tendance à interpréter les comportements de notre conjoint à travers le filtre déformant de nos pensées négatives. Inconsciemment, nous projetons sur notre mari notre peur de ne plus être aimable. Et tout, dans notre attitude, va faire que ça finisse par arriver ! Nous aurons validé notre scénario noir : nous ne sommes plus désirable, il ne nous aime plus…
  • Claude évoqua le principe du triangle dramatique. Dans ce scénario relationnel négatif, chacun pouvait jouer tour à tour un rôle de victime, de persécuteur ou de sauveur. Dans un tel schéma, il ne peut pas y avoir d’issue favorable, un moyen de sortir du jeu ! Chacun tourne dans les rôles sans trouver d’autres issue que le crescendo inévitable de la dispute ! Or, il existe d’excellents moyens pour sortir du triangle… déjà, prendre conscience du scénario pour stopper le jeu et attendre un moment calme et propice pour renouer le dialogue. Ensuite, bien cerner nos besoins pour formuler des demandes directes à notre conjoint, afin qu’il sache en clair et sans décodeur ce que nous souhaitons. Si ce sont des attentes légitimes et raisonnable, il n’y a pas de raison qu’il n’y accède pas. Il va falloir aussi apprendre à poser ses limites et à les exposer à notre entourage. Notre profil de personnalité nous conduit très souvent à chercher à faire plaisir : une forme de suradaptation chronique aux désirs de l’autre au détriment des nôtres. Notre nature nous pousse à être beaucoup en empathie, et c’est une bonne chose de se soucier du bien-être d’autrui. Encore faut-il ne pas confondre empathie sèche et empathie mouillé !
  • Avec l’empathie mouillé, nous prenons à notre charge le pathos de l’autre, nous absorbons ses émotions négatives et finissons par allez mal, nous aussi!
  • Avec l’empathie sèche, nous arrivons à entendre et compatir aux problèmes de notre entourage, sans pour autant nous laisser contaminer par leur humeur néfaste. Cette sorte de bouclier de protection est très utile pour ne pas se laisser aspirer.
  • Arrête d’être trop gentil. Sois simplement plus authentique dans tes émotions.
  • Et puis, très important, apprend à décoller tes timbres au fur et à mesure, au lieu d’exploser comme une cocotte-minute. Il faut dire à notre mari nos contrariétés au fur et à mesure. Si tu lui fais passer tes messages avec douceur et bienveillance, il n’y a pas de raison pour qu’il ne les écoute pas!
  • Et puis, à l’avenir, quand tu sens que la moutarde commence à te monter au nez, mets-toi d’accord avec lui sur un code rouge. Convenez tous les 2 d’un petit signe que vous vous ferez pour prévenir l’autre qu’il y’a un danger de dispute ! C’est une sorte de warning, comme une voiture. Le geste agit comme une lumière qui clignote pour avertir qu’on avance en terrain miné ! En étant ainsi prévenu l’un et l’autre, vous éviterez la montée en cascade de l’agressivité. Dernière chose très importante : apprend à formuler des critiques sans violence. Pour ça, ne commence pas tes phrases par des « tu » assassins. J’appelle ça la mitraillette à reproches : imparable pour faire sortir l’autre de ses gonds !
  • Pour dire ce que tu as à dire, fais plutôt une F.E.T.E. Ce sont des initiales : F, tu rappelles les faits qui t’ont contrariée. E, tu exprimes ton émotion, ce que tu en as ressenti. T et E, tu proposes un terrain d’entente, une solution gagnant-gagnant pour les deux parties.
  • Faire un pas vers l’autre, ça parait si simple, et pourtant si peu de gens le font. Que d’amours gâchés alors qu’avec un peu d’effort les relations pourraient repartir de plus belle! Il faut dire que, dans notre société d’hyperconsommation, on préfère jeter plutôt que réparer. « Les grands bonheurs viennent du ciel, les petits bonheurs viennent de l’effort », dit le proverbe chinois.
  • Tu ne devais pas faire peser sur ton conjoint la responsabilité de ton bonheur. Il ne doit être dans ta vie qu’une cerise sur le gâteau. Il faut savoir aimer à la bonne distance. C’est comme un élastique : ni trop serré, c’est étouffant, ni trop distendu, parce qu’on finit par perdre le lien. Il faut trouver la bonne tension.
  • Il est aussi nécessaire de démêler les fils qui nous relient au passé. C’est-à-dire comprendre comment les relations que tu as vécues enfant influencent ton présent. Il est possible que certaines situations, dans ta vie aujourd’hui, réactivent ses blessures du passé et libèrent malgré toi une charge émotionnelle disproportionnée par rapport à l’événement déclencheur. On appelle ça des élastiques.
  • Nourrir positivement la relations te reviendras au centuple ! Pars du principe que l’autre essaie de donner le mieux de ce qu’il peut dans la relation à l’instant T, et retiens ce qu’il apporte de positif au lieu de te concentrer sur ce qui te déçoit, parce que ça ne correspond pas tout à fait à tes attentes. On récolte ce que l’on sème… Sème du reproche, et tu récolteras rancœur et désenchantement. Sème de l’amour et de la reconnaissance, et tu récolteras tendresse et gratitude.
  • Tu dois respecter et accepter la personnalité profonde de ton conjoint et ne pas attendre de lui des choses qu’il ne pourra pas te donner. L’amour est comme une plante qui demande beaucoup d’attention et qu’il grandit bien quand on l’arrose. Valorise ton mari dans tout ce qu’il fait de bien, montre-lui ta gratitude, voire ton admiration. Tu le verras alors changer et s’épanouir de jour en jour. Il sera probablement beaucoup plus réceptif à tes propositions amoureuses. Sourires, soutien, tendresse, voilà le terreau de ta carte du tendre!

14. Camille eu rdv avec Claude à la galerie des glaces déformantes.
Claude lui dit que la plupart du temps, on se voit comme à travers ce miroir déformant à cause de nos pensées négatives qui transforment la réalité. Notre mental nous joue des mauvais tours. Il nous raconte des histoires et on finit par le croire! Mais on a le pouvoir de stopper notre mental, et même de le manipuler! Le maître de nos pensées c’est personne d’autre que nous! Le plus souvent, on est très mauvais juge pour soi-même.
Devant un miroir normal Claude lui demande ce qui lui plait le plus dans son physique? Une fois énuméré il lui demande donc de tout faire pour mettre ses atouts en valeur, et focaliser son attention dessus plutôt que sur ses petits défauts, dont tout le monde se fiche. Ce qui compte le plus, c’est ce que tu dégages de l’intérieur. Ce que tu es à l’intérieur se voit à l’extérieur. Plus tu auras confiance en qui tu es, moins tu seras susceptible d’être blessée par des atteintes extérieures. Quand tu auras remusclé ton estime de toi, que tu auras un projet de vie en totale cohérence avec ta personnalité et tes valeurs profondes, tu avanceras sereinement, forte de ta vision positive, et tu n’auras plus peur. Tu seras « aligné », en harmonie avec toi-même et l’univers.

15. Claude lui avait suggéré : d’arrêter d’être trop adulte, de lui laisser davantage aller à des moments complices avec son fils. « Le secret, c’est de participer ». Lorsqu’elle accepta de jouer à un jeu de société avec son fils tout le monde s’est amusé. Et le visage heureux de son fils valait toutes les récompenses. Comblé dans son besoin de jeu et de présence, il se coucha même sans faire d’histoire! Par contre ensuite, elle refusa gentiment un câlin de Sebastien pour faire du travail. Il fut surpris, un brin décontenancé, d’autant plus que d’habitude, c’était toujours elle qui quémandait de la tendresse. Pour une fois, les rôles étaient inversés. Peut-être venait-elle de trouver la bonne distance de l’élastique?
Elle commençait à travailler le portrait chinois de personnalités qu’elle voulait modéliser. Ce petit exercice lui avait permis de mettre en lumière certaines de ses valeurs et d’affiner la vision de la personne qu’elle voulait devenir.
Elle continuait ensuite ses recherches dans son domaine de prédilection, la mode. Elle explorait les bios de grands créateurs, dont son préféré : Jean Paul Gaultier.
Cela lui rappelait la petit histoire sur la persévérance que lui racontait souvent mon grand-père. Avec tout ça elle se posait les questions suivantes :
Et moi, est-ce que j’avais dû persévérer tout au long de ma vie, ou est-ce que j’avais trop vite renoncé à mes rêves? Maussade, elle ressortit un carton à dessins. Elle notait, ébahie, l’aisance des traits. Peut-être aurais-je pu en faire quelque chose, si j’avais suivi une école de dessin au lieu d’études de commerce… Et si je décidais de lui redonner vie, à ce rêve? Sébastien comprendrait-il? Serait-il à mes côtés pour prendre le train du changement, ou resterait-il à quai? Cette question n’était pas sans l’inquiéter…

16. Il s’agit des inquiétudes sur l’évolution de son couple (« souvent, ce n’est pas l’autre qu’on n’aime plus, c’est ce qu’est devenue la relation. Or, dans un couple, chacun est coresponsable de la qualité des échanges. Si tu veux rallumer la flamme, provoque des étincelles! N’attends pas toujours de l’autre l’initiative. ») Faire des sms d’amour 3.0 : faire un brainstormings de la passion du conjoint puis créer un texte savoureux avec ce jolie mélange en appliquant la règle du CQFD. C = pas de censure ni de critique, Q pour quantité, F = farfelu et D pour démultiplication.
Camille continua l’exercice avec des post-it éparpiller partout dans la maison pour son tendre.
Claude lui donna un dernier conseil : « au lieu de compter les moutons avant de vous endormir, ce soir, repensez à 3 choses agréables et favorables qui vous sont arrivés dans la journée. »

17. Ils vont dans un bar à sourire pour la formule « éclat ». Après le but de l’exercice n’est pas seulement d’avoir de belles dents mais de prendre conscience des effets du sourire. « Votre sourire peut faire votre richesse plus sûrement qu’un ticket de loto! » Le bénéfice d’un sourire est double : effet positif sur son entourage comme sur soi et en plus ça ne coûte rien. Comme disait l’abbé Pierre : « un sourire coûte moins cher que l’électricité, mais donne autant de lumière » Sourire (naturellement ou pas) réduit les effets du stress, permet d’être plus aimée des gens, d’être plus heureux mais aussi de vivre plus longtemps et en meilleure santé. Le sourire intérieur donne une énergie réconfortante et possède aussi un pouvoir de guérison non négligeable.

18. Camille qui teste de se mettre dans la peau de ces mentors et les effets sont surprenants. Elle s’est également mise au défi d’apprendre à connaître la personne qu’elle aimait le moins à son travail et les effets furent surprenants également…

19. Bilan 4 mois après avec Claude. En regardant le cahier des engagements et le carnet positif de Camille, Claude vit tous les beaux progrès de Camille. Ainsi, elle gagna une nouveau récompense.

20. Dans ce chapitre Camille se rend compte que le plus important n’est pas de savoir mais de faire. Que renouer avec Dame Nature lui apporte un réconfort insoupçonné. Que le changement de philosophie de vie qu’elle expérimente depuis des semaines la rend moins anxieuse et moins agitée… Claude lui donne un nouvel exercice durant 3 semaines car c’est le temps nécessaire pour qu’une habitude se mette en place. Il s’agit d’une sorte de bonbonnière en verre transparent où elle doit mettre 1€ chaque fois qu’elle a une pensée ou parole négative. Elle fait d’ailleurs le choix de le faire en famille.

21. Ici c’est dans un centre spécialisé en plongée sous-marine qu’elle atterrit. Le but : comprendre l’importance de la respiration pour canaliser ses émotions.

22. Dans ce chapitre Camille amène son homme dans un restaurant plongé dans le noir. Ainsi cela leur a permis de décluper leur sens.

23. Ensuite c’est Camille seule (accompagné de Claude) qui fait une nouvelle expérience : la rencontre d’un maître plutôt inattendu dans le but d’être plus zen.

24. Dans ce chapitre Camille prépare une surprise à sa moitié. Mais maintenant qu’elle évolue sur le plan psychique, elle découvre que son mari a peur de ne plus être à la hauteur…

25. Ici c’est avec son fils qu’elle arrange les rapports, notamment sur les problèmes avec ces devoirs

26. Camille rend visite à sa mère pour lui annoncer qu’elle va quitter son travail (grâce au travail qu’elle fait avec l’homme qui l’aide à retrouver le chemin de son bonheur perdu) (il est routinologue : une nouvelle approche de développement personnel) sa mère comme prévu n’est pas confiante à propos de ce projet.

27. Claude a donné rendez-vous à Camille au Musée du Louvre. Il l’explique la relation mère enfant a travers un tableau. « Le plus grave, ce n’est pas d’échouer. C’est de ne pas avoir essayé. De toute façon, on ne peut jamais se prémunir contre d’éventuelles souffrances, car elles font partie de la vie. » « Le secret, c’est de reprendre le contrôle de votre mental et de décider que même les choses désagréables, vous les vivez bien. De voir du positif même dans le négatif. » « Oscar wilde disait : la sagesse, c’est d’avoir des rêves suffisamment grands pour ne pas les perdre de vue lorsqu’on les poursuit. »

Et je m’arrête ici pour ce beau résumé. (8 chapitres avant la fin)
(Un peu trop compliqué pour moi a faire car j’avais envie de tout te résumer tellement j’adore ce livre 🙈).
Mais après si je te dévoile la fin, il n’y a plus de suspense non plus. Et la fin est tellement belle et surprenante!
Si tu ne l’avais pas encore lu, je te le recommande fortement. Puis pour l’été cela reste un roman souple et léger que tu peux lire d’une traite. Ensuite rien ne t’empêche de le relire pour revenir sur les concepts de développement personnel (bien qu’à la fin du livre, quelques pages les reprennent tous).

Bonne lecture à tous 😉

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